Dans cette correspondance, Giono paraît multiple et déconcertant : à la fois lyrique et calculateur, ardent et mélancolique, sans cesse habité par le démon de l’écriture.
Dans cette correspondance, Giono paraît multiple et déconcertant : à la fois lyrique et calculateur, ardent et mélancolique, sans cesse habité par le démon de l’écriture.